NATHALIE MOLENDI

Il est temps de se souhaiter les vœux.

Mais que se cache-t-il derrière un vœu ?

Vient-il du verbe « vouloir » : je veux, tel un petit enfant capricieux qui tape des pieds pour obtenir l’objet de son désir ?

 Ou bien les vœux sont-ils une manifestation de notre dimension céleste ?

Même pour ceux qui se disent athées, non connectés à leur spiritualité ou qui se considèrent comme libres penseurs, les vœux représentent un instant de connexion avec les mondes invisibles, aussi furtif soit-il. Ils incarnent l’espoir que nos rêves et nos désirs les plus profonds puissent se réaliser.

C’est un message que nous envoyons vers l’univers, un moment d’alliance et de partage avec le monde supérieur.

A cet instant précis où nous laissons nos souhaits s’exprimer, chaque être humain croit au miracle de la vie. Nous ouvrons notre cœur à ce qu’il y a de plus vivant en nous : l’espérance d’être entendu. Par qui ? Par quoi ?

Probablement par quelque chose de bien supérieur à notre dimension humaine.

L’homme est l’interface entre le ciel et la terre. Ses pieds sont ancrés dans la terre tandis que  sa tête est en connexion avec le ciel. L’équilibre pyscho-corporel est donc dans la prise en compte de ces 2 axes.

Tout comme pour le yin et le yang, tout est interconnecté et il est impossible de survivre totalement coupé d’une partie de son être.

En ce début d’année 2025, J’ai donc envie de vous présenter mes meilleurs vœux en y mettant l’intention qu’au moment où vous les recevrez, vous transmettrez au ciel, intiment en connexion profonde avec votre être, telle une prière, vos souhaits pour vous, vos proches et si possible  pour l’humanité.

Donc :

Du fond du cœur, pour 2025, je vous adresse mes meilleurs vœux …

Nathalie MOLENDI